Petite soeur de la plus connue île de Trinidad, Tobago est un joyau oublié au sud de l'arc antillais comptant à peine 60 000 habitants particulièrement accueillants et dont on peut faire le tour en voiture dans la journée. Attention, on roule à gauche dans ce pays anglophone et les routes sont souvent de sinueuses routes de montagne !

À quelques kilomètres du continent sud-américain, satellites du grand Venezuela, Trinidad & Tobago en ont hérité une faune et une flore exubérantes, très différentes de celles auxquelles on est accoutumé dans la région. Ces deux îles ont en effet été séparées du continent il y a quelques centaines de milliers d'années et en ont gardé les espèces animales et végétales originelles tout en développant leur propre biodiversité au travers d'espèces endémiques comme le sont par exemple un tiers des oiseaux qui se reproduisent à Tobago de nos jours. Le monde sous-marin n'est pas en reste et que vous soyez adeptes de plongée, de sports de glisse, de photographies, de randonnées ou simplement de farniente (on dit " Liming " à Tobago), vous allez adorer ce petit paradis où il fait beau toute l'année et qui, chose rare dans les Caraïbes, est en dehors de la zone fréquentée par les ouragans.

La plus ancienne réserve forestière du monde (depuis 1776)

Petite île aux côtes découpées comme de la dentelle, Tobago recèle de nombreuses plages de sable fin souvent invisibles depuis la route et sur lesquelles il fait bon se reposer après une balade dans la " Main Ridge forest reserve " qui couvre environ 60 % de l'île. Cette réserve forestière est l'une des plus belles de la Caraïbe. Elle fut la première de la région, déclarée comme telle dès avril 1776 afin de protéger sa capacité à retenir les nuages et subséquemment à fournir de l'eau pour l'agriculture, à l'époque la principale ressource de Tobago. Véritable colonne vertébrale de l'île, cette forêt tropicale humide est assez montagneuse, son point culminant atteignant 604 mètres. Mais la majorité de sa surface se trouve entre 200 et 300 mètres d'altitude, offrant de superbes itinéraires de randonnées souvent accessibles à tous et commençant parfois sur la plage avant de monter à la découverte de superbes cascades au coeur de la forêt. Les cascades de Tobago peuvent à elles seules être un thème de voyage tant elles sont nombreuses et disséminées sur toute l'île. Aller à la recherche d'une cascade est une aventure en soi et donne l'occasion de profiter de la richesse naturelle de la jungle avant de plonger dans les eaux fraîches et cristallines des piscines naturelles qui se forment à leurs pieds.

Plus de 260 espèces d'oiseaux

Au cours de ces randonnées au coeur de la jungle tropicale il est courant, particulièrement lorsqu'on est accompagné d'un bon guide, d'apercevoir ou d'entendre les oiseaux qui profitent des innombrables ressources de la forêt pour se nourrir et nourrir leur descendance. Les colibris, parmi les plus petits habitants ailés de la jungle, sont les plus faciles à repérer grâce à leur vol saccadé et au son émis par leurs battements d'ailes, si caractéristique, qui peuvent atteindre le rythme de 90 battements par seconde ! Les chanceux pourront peut-être voir et prendre en photo l'un des plus grands colibris du monde, le Campyloptère à queue blanche au dos irisé de vert et à la gorge d'un bleu-violet éclatant. Un des oiseaux les plus faciles à reconnaître à l'oreille est sans aucun doute l'un des deux oiseaux figurant sur le blason du pays, le Cocrico également appelé Chacalaca par les locaux. Le chant de l'Ortalyde à ventre roux dont il est question, " cha ka laka " est en effet très puissant et résonne chaque matin et chaque soir en lisière des bois. Le deuxième oiseau du blason de Trinidad & Tobago est l'Ibis écarlate qui vit à Trinidad pour sa part et que l'on peut admirer au coucher du soleil sur le marais de Caroni. À Tobago, les oiseaux marins ne sont pas en reste par ailleurs et se reproduisent le plus souvent en colonies regroupées sur les îlots isolés comme Little Tobago, au large de Speyside, qui abrite un sanctuaire aviaire très intéressant et facile à visiter grâce aux bateaux qui vous y emmènent en 20 minutes au départ de Speyside. On peut y observer la reproduction de fous à pattes rouges (les fameux Boobies), mais aussi du superbe Phaéton à bec rouge, plus rare et qui se fait souvent harceler par les grandes Frégates cherchant à lui voler le fruit de sa pêche. Contrairement à la plupart des oiseaux marins, la Frégate n'a en effet pas la chance d'être dotée d'un plumage étanche et doit se résoudre, pour se nourrir, à attaquer ses congénères plus chanceux de ce point de vue.

Site de ponte des tortues marines

C'est d'ailleurs la Frégate qui représente l'un des plus grands prédateurs de tortues marines qui viennent pondre sur les plages de Tobago comme celles du nord-est de Trinidad. Elles planent paisiblement dans les airs, au-dessus des plages de sable fin en attendant les éclosions des oeufs de tortues marines revenues quelques semaines auparavant, sur leur plage de naissance pour pondre des dizaines d'oeufs dans de grands trous qu'elles aménagent dans le sable au prix d'épuisants efforts. Au moment de l'éclosion, toutes les petites tortues se jettent dans une course effrénée pour rejoindre la mer avant de se faire gober par les oiseaux noirs et menaçants qui en profitent pour s'offrir un festin inégalé le reste de l'année.

Sur un millier de petites tortues venues au monde, une seule parviendra à l'âge adulte et reviendra plusieurs années plus tard sur la plage de son éclosion pour continuer le cycle. Des 3 espèces de tortues venant sur les côtes de Tobago pour se reproduire, les plus impressionnantes sont sans aucun doute les tortues luths, dont certains spécimens peuvent atteindre une tonne ! Quel poids à déplacer une fois sur le sable pour la ponte lorsqu'on est armé de puissantes nageoires peu efficaces hors de l'eau ! Les deux autres espèces se reproduisant à Tobago sont la tortue imbriquée reconnaissable à son bec crochu ressemblant à celui d'un faucon et qui peut atteindre 75 kg et enfin la plus commune tortue verte également appelée tortue franche qui pèse jusqu'à 150 kg, une belle taille déjà. Les pontes comme les éclosions sont surveillées de près par diverses associations de protection qui organisent également des excursions permettant de découvrir le cycle de vie incroyable de ces animaux mythiques.

Le sable blanc, rose, voire noir

Aucune étude ne précise si nos amies les tortues marines ont une attirance particulière pour les sables colorés, mais Tobago serait un endroit idéal pour tenter de répondre à cette question. On y trouve en effet des sables rose bonbon comme sur la plage de Lover's Bay, une petite baie peu connue du nord-est de l'île, mais aussi des sables d'un blanc immaculé comme à Pigeon Point, beaucoup plus connue que la précédente. Et pour ceux qui aiment les variations extrêmes, un chemin de 5 kilomètres en pleine forêt vous mènera du village de Moriah, sur les hauteurs, tout près de la fameuse cascade de Craig Hall, jusqu'à King Peter's Bay où vous pourrez laisser vos empreintes sur un sable noir unique dans le pays. Attention, qui dit sable noir, dit forte accumulation de la chaleur du soleil, n'oubliez pas vos sandales !

Amateur de plages de rêve, où que vous alliez sur la côte sous le vent de l'île, de Charlotteville à Crown Point vous serez en admiration devant la nature exubérante qui se développe à quelques pas de la grande bleue. La côte au vent est plus abrupte bien entendu, mais on peut y découvrir également de petits coins paradisiaques comme Speyside et ses deux baies connues pour offrir un refuge idéal aux mantas à la fin de l'hiver.

De jolis fortins à visiter

Au cours de la découverte de Tobago et de ses plages, il n'est pas rare de découvrir également de jolies forteresses abandonnées souvent bien entretenues pour le plaisir du visiteur et dans lesquelles on peut trouver d'anciens canons ayant servi à défendre l'île contre les envahisseurs venus de la mer ou de la baie voisine au temps des conquêtes coloniales. Fort Benett, au bout de la superbe plage de Black Rock en est un excellent exemple et les couchers de soleil y sont absolument splendides en arrière-plan de la petite batterie de canons qui trône au-dessus de la mer. Il a été construit entre 1628 et 1636 par les Hollandais, maîtres de l'île à cette époque. Il fut ensuite renforcé par les Courlandais (le duché de Courlande est aujourd'hui un territoire de la Lettonie) puis par les Anglais, au gré des diverses prises de pouvoir. Le plus connus de ces forts est probablement Fort Milford car il est situé tout près de l'aéroport, à Crown Point, et nombre de visiteurs s'y retrouvent le soir pour photographier les camaïeux d'orange et de rouge qu'offre le soleil en se couchant sur la mer.

Une histoire mouvementée

Le nombre de forts sur les côtes de Tobago est le meilleur témoin de l'intensité des convoitises suscitées par cette petite île. Tobago a en effet changé de mains plus de 33 fois dans son histoire, établissant là un record mondial des îles colonisées. Espagnols, Anglais, Hollandais, Français, mais aussi Courlandais, se sont succédé et alternés dans l'occupation de cette petite île très convoitée. À la fin du XVIe siècle, l'objet de toutes les convoitises, particulièrement pour les Espagnols, était la main-d'oeuvre disponible sur l'île, qui était souvent envoyée à Isla Margarita, une île aujourd'hui vénézuélienne, situé à une centaine de miles à l'est de Tobago, pour renforcer les équipes de pêcheurs de perles dont Isla Margarita et sa petite soeur Cubagua regorgeaient. Mais dès le début du XVIIe siècle, la population indigène ayant pratiquement disparu, les autres royaumes européens ont entrepris alternativement de mettre la main sur le territoire à des fins agricoles et y ont importé de nombreux esclaves d'Afrique. Les Amérindiens, principalement Kalinagos venus de ce qui est aujourd'hui le Venezuela et les Karibs arrivés d'autres îles de la Caraïbe ne leur ont pas laissé la tâche facile et ont combattu sans relâche pour tenter de chasser les envahisseurs, au prix de nombreuses vies. Leur résistance inattendue explique probablement ce triste record du nombre d'occupations détenu par Tobago. La population actuelle est en grande majorité descendante des esclaves africains souvent métissés au cours des siècles contrairement à la population de Trinidad, sa grande soeur, qui comporte une composante indienne beaucoup plus importante. À l'époque de l'abolition de l'esclavage, les Anglais firent en effet venir de la main-d'oeuvre d'Inde, une de leurs colonies, jusqu'à Trinidad, pour travailler principalement dans les champs de canne à sucre.

Paradis des sports de glisse

Outre ses superbes plages de sable fin bordant souvent la forêt tropicale, Tobago dispose d'un magnifique lagon, celui de Bon Accord, situé au sud-ouest de l'île, encadré par la plage de Pigeon Point et le village de pêcheurs de Buccoo. Ce lagon " carte postale " est le terrain de jeu favori des amateurs de planche à voile et de kitesurf qui viennent de loin pour y tirer des bords sur une mer calme protégée de la houle par le récif qui l'entoure et bénéficiant d'un vent régulier pendant la période des Alizés qui s'étend de décembre à mai en général. Les amateurs de farniente bénéficient quant à eux à Pigeon Point, d'une magnifique plage de sable blanc où il fait bon s'installer dans un hamac à l'ombre des cocotiers. Mais les amateurs de surf ne sont pas non plus oubliés par la nature puisque de beaux rouleaux les attendent à peine sortis du récif. Toute la côte sous le vent est propice au développement de belles vagues, les spots changeant tout au long de l'année, au gré des variations du vent et des courants.

Le lagon bioluminescent

Depuis quelques années, le lagon de Bon Accord porte un nouveau surnom, la baie Bio. C'est en effet là que sont organisées des excursions nocturnes en paddle ou en kayak, offrant une chance unique aux visiteurs : découvrir la bioluminescence du plancton. Ce phénomène, souvent observé à l'abord des mangroves qui sont riches en plancton, est particulièrement puissant ici et le lagon semble parfois éclairé artificiellement depuis les profondeurs abyssales alors que le fond est en réalité à portée de pagaie. C'est d'ailleurs le mouvement de votre pagaie dans l'eau qui active la bioluminescence des dinoflagellés, ces micro-organismes qui en sont à l'origine et nous offrent ces superbes aurores boréales sous-marines à deux pas du récif de Buccoo.

En palmes, masque et tuba

De jour, ce récif est un endroit parfait pour s'adonner aux plaisirs de la balade aquatique en palmes, masque et tuba afin d'observer les myriades de poissons multicolores qui s'y ébattent et s'y reproduisent. De nombreux opérateurs touristiques, souvent basés à Pigeon Point ou Store Bay, la plage publique voisine, proposent des balades en bateau à la découverte du fameux " Nylon pool ", grande piscine naturelle aux eaux cristallines et profonde d'à peine 1 mètre où l'on a pied partout. C'est la princesse Margaret, de la couronne britannique, qui lui a donné ce nom en 1962 lors de sa lune de miel, comparant sa transparence à celle de ses bas en nylon. Les bateaux à fond de verre qui y emmènent les visiteurs semblent d'ailleurs littéralement épinglés entre le ciel et le sable de cet endroit magique dont la légende dit qu'il ferait rajeunir de 10 ans tous ceux qui viennent s'y baigner. Ceux qui viennent en couple seront par ailleurs vite mis au courant par l'équipage qu'il suffit de s'embrasser sous l'eau de Nylon pool pour être heureux le reste de ses jours !

Plus de 50 sites de plongée

Ce merveilleux récif qui fait la joie des amateurs de sports nautiques en surface, en protégeant le plan d'eau, fera également celle des plongeurs sous-marins en leur offrant une diversité corallienne rare dans les Caraïbes. Les plus gros coraux-cerveaux de la région, atteignant parfois plusieurs mètres de diamètre, servent de refuges aux langoustes, aux murènes et parfois aux tortues marines qui aiment à faire la sieste dans leur ombre protectrice. Il y a trois grandes zones de plongée autour de l'île, la côte Caraïbe, la côte sud et Speyside.

La côte Caraïbe qui s'étend sur 50 kilomètres de Crown Point à Charlotteville abrite de nombreux sites de plongée, allant du superbe tombant des Sisters, ces deux rochers qui émergent au large de Parlatuvier à l'épave du Maverick, un ancien bateau de transport de passagers coulé volontairement à l'initiative de l'association locale des opérateurs de plongée en 1997. Elle est aujourd'hui devenue un des sites phares de Tobago et on vient de loin pour la connaître et la visiter.

La côte sud, dans le prolongement de l'aéroport de Crown Point, fait la part belle aux requins-nourrices, aux tortues ainsi qu'à une grande diversité d'espèces pélagiques qui profitent des courants importants pour jouer à cache-cache avec les plongeurs survolant le récif sans fournir d'effort.

Le Graal de la plongée à Tobago reste cependant Speyside et ses petites îles satellites que sont Goat Island (l'île aux chèvres) et Little Tobago. Ces deux îles, souvent baignées par les eaux riches en plancton arrivant du delta de l'Orénoque, le principal fleuve du Venezuela tout proche, recèlent en effet une faune sous-marine exceptionnelle. Les barracudas géants et les raies s'y ébattent au milieu de champs d'éponges tubulaires de plusieurs mètres de haut qui servent de refuge à de jolis crabes et crevettes multicolores. À la bonne saison, de janvier à mai environ, il n'est pas rare de croiser de belles raies mantas qui peuvent atteindre plus de 4 mètres d'envergure attirées par ces eaux riches en plancton. La visibilité peut en pâtir mais la joie de croiser une manta le fait vite oublier.

Destination idéale pour une lune de miel

Pigeon Point, Castara, Charlotteville ou encore Batteaux Bay à Speyside sont autant de plages dignes de figurer sur une carte postale ou mieux, de servir de décor pour les plus belles photos d'un voyage de noces. Quel que soit votre budget, vous trouverez facilement votre bonheur parmi les nombreuses options proposées dans cette petite île paradisiaque et les jeunes mariés pourront se concocter un voyage inoubliable sans dépenser une fortune. Plages désertes, cascades mystérieuses, eaux cristallines, nature sauvage et sports à gogo, quel meilleur programme pour une lune de miel réussie ?

Facilement accessible

La destination est maintenant facilement accessible tant depuis l'Europe que de l'Amérique du Nord grâce à de nombreux vols internationaux directs jusqu'à Trinidad qui se combinent facilement avec la navette de Caribbean Airlines, la compagnie nationale, qui relie Trinidad à Tobago une quinzaine de fois par jour. Il est même possible de rallier Tobago directement depuis Londres ou Francfort, autant de raisons pour ne plus hésiter et partir à la découverte de la facette sauvage de la Caraïbe ! Si vous pouvez consacrer au moins 2 semaines à votre voyage, n'hésitez pas à programmer un voyage combiné incluant Trinidad à votre périple, elle recèle également de très belles surprises aux visiteurs et n'est qu'à 20 minutes de vol de Tobago.

Ibis écarlates transformant la mangrove en arbres de Noël chaque soir, juste avant les derniers rayons de soleil sur le marais Caroni ou pontes de tortues luths sur la plage de Grande-Rivière au printemps, sont autant de merveilles de la nature dont ce petit pays a le secret et qui compléteront votre voyage de rêves dans une des îles les mieux préservées de la Caraïbe.

 

INFOS FUTÉES

Quand ?

Toute l'année ! Tobago bénéficie d'un climat subtropical qui se caractérise par une constance des températures tout au long de l'année. Elles oscillent entre 20 °C et 30 °C.

• Pour le vent : de décembre à mai.

• Pour la ponte et l'éclosion des tortues : de mars à juillet.

• Pour les raies mantas : février/mars.

Durée

Le voyage au départ d'Europe étant assez long, il convient de prévoir au minimum une semaine sur place, mais il faut au moins le double pour profiter pleinement de cette île et découvrir aussi sa grande soeur, Trinidad. Si vous arrivez dans le pays en faisant escale à Trinidad, vous pouvez passer les 4 premiers jours de votre séjour à Trinidad afin de découvrir ses plus grands attraits et enchaîner pour une dizaine de jours à Tobago.

Budget

Dans la moyenne des îles des Caraïbes, Tobago reste une île abordable et où l'on peut trouver à se loger correctement pour 50 US$ par jour. En ce qui concerne les repas, compter environ 20 US$ en moyenne pour un plat dans un restaurant classique, mais vous pouvez manger dans de petits restaurants locaux pour moins de 10 US$ par personne. Le prix du vol international depuis l'Europe varie de 800 € à 1 200 € suivant les périodes et l'itinéraire.

Décalage horaire

Tobago vit à l'heure standard de l'Atlantique (AST), GMT-4. C'est-à-dire, moins 5 heures en hiver et moins 6 heures en été par rapport à la France. En janvier, quand il est 20h à Paris, il est 15h à Tobago.

Public

Tobago est une île très sûre, parfaitement adaptée aux voyages en famille comme en amoureux. Les plongeurs comme les amateurs de sports de glisse y seront au paradis, à l'instar des randonneurs et des adeptes de farniente.

Y aller

Sans passer par les États-Unis : avec British Airways au départ de Londres, Condor au départ de Francfort ou Air France/KLM au départ d'Amsterdam avec une escale à Trinidad.

En passant par les États-Unis : grâce à la fréquence de la navette qui relie Trinidad à Tobago, le choix est vaste en faisant escale aux USA. Les compagnies Caribbean Airlines, United Airlines, Jetblue et American Airlines ont des vols quotidiens depuis les USA pour Port of Spain. Depuis le Canada : Caribbean Airlines propose des vols directs depuis Toronto jusqu'à Port of Spain.

Tobago en quelques chiffres

• 300 km² de surface

• 60 000 habitants environ

• 260 espèces d'oiseaux (au moins)

• 50 sites de plongée

• 25 cascades dans la forêt

• 4 espèces de tortues marines

S'informer

Tobago Tourism Agency Limited est chargée de la promotion touristique de Tobago et son site Internet est une mine d'informations pour le voyageur.

Tél. : +1 868 612 8825 ext 2001

info@tobagotourism.org

Contact en France pour les agences comme pour les particuliers :

Tél. : +33 6 01 21 33 76