JARDIN BOTANIQUE
Diverses espèces exotiques et endémiques des Mascareignes dans un jardin botanique à Curepipe.
Pour une bouffée de chlorophylle, se rendre au Jardin botanique de Curepipe, moins riche et bien plus petit que le Jardin de Pamplemousses (2 ha contre 37), mais poumon vert de la ville. Orné d'un kiosque à musique de l'époque victorienne, il fut aménagé en 1870 par des descendants de colons français pour y faire pousser des plantes inadaptées aux températures élevées du littoral. De nombreuses espèces exotiques et endémiques des Mascareignes y furent plantées dont, protégé par une structure en métal, le dernier spécimen mondial d'hyophorbe amaricaulis (palmier).