Il s'agit en fait de deux villages paisibles qui se sont unis dans une même commune, tout en gardant chacun leur nom. Le lieu a vécu les troubles de la Révolution de manière significative, à cause du seigneur vivant au coeur du village. De son château, il ne reste plus que la tour de guet (XVIe), du haut de laquelle on domine le village. L'ancienne chapelle du château, sauvegardée, est devenue l'église de Saint-Victor. On peut y admirer de remarquables fresques peintes par un artiste estonien, Nicolas Greschny, à propos desquelles Picasso aurait dit que " ça tenait la route ". Notons enfin l'ambiance légèrement confinée des rues et places du village.