Restaurant à l'intérieur sobre et élégant jouant la carte du luxe et du raffinement discret.
Lettres d’or sur une devanture de pierre blonde, intérieur sobre et élégant, l’annexe parisienne de l’historique Nodaiwa fondée à la fin de l’époque d’Edo (1603 - 1667) par Noda Iwajiro (comme Nodaiwa, vous suivez ?) joue la carte du luxe et du raffinement discret. Tous les menus gravitent autour de l’anguille, mise dans tous ses états et à toutes les sauces : au gingembre, frite, en gelée, marinée, pochée, etc. On ne saurait que trop vous conseiller les unadon, des anguilles grillées sur lit de riz accompagnées d’un chawanmushi et d’une salade ou l’unaju, c'est une anguille grillée avec une sauce servie dans une boîte laquée. La spécialité du chef est le kabayaki, une recette qui réclame un grand savoir-faire : les filets d’anguilles sont d’abord cuits sur la braise, puis à la vapeur, puis trempés dans diverses sauces et à nouveau braisés. Ceux qui ne peuvent pas manger d'anguille, ils essaieront la brochette de foie sautée ou du poulet émincé.
Avis des membres sur NODAIWA
L'anguille n'est pas de la meilleure qualité, mais elle est assez bonne pour être mangée à Paris !
J'ai pris les bols à 24 et 33 euros juste pour essayer, et j'ai été satisfaite de la quantité.
Je pense que le prix est également raisonnable, car le kitsune udon d'une célèbre boutique d'udon de Japan Town coûte 20 euros.
L'atmosphère du restaurant est agréable et calme, et les boiseries des murs sont magnifiques.
Le personnel est très agréable.
L'élément clé est l'unaju, qui est fin et élégamment assaisonné. Vous pouvez ajouter de la sauce à l'anguille selon votre goût.
Franchement, j'ai trouvé la chair plus fine et moins grasse que les anguilles que j'ai mangées au Japon. (Non seulement par rapport à celles achetées dans les supermarchés, mais aussi par rapport à celles des magasins spécialisés dans les anguilles).
Bien sûr, l'anguille est tendre et goûte très bien sans odeur, mais personnellement, je l'aime avec un peu plus de graisse...
Cela peut être dû à la différence entre les types d'anguilles asiatiques et européennes.
Les ōmaki du bento et le plat de légumes japonais étaient délicieusement assaisonnés et très savoureux.
La quantité de riz est faible, peut-être un grand bol.
Nous avons partagé une anguille de 280 g avec deux enfants qui ont un petit appétit, mais ce n'était pas assez.
Si vous voulez partager avec des enfants, vous pouvez ajouter un plat unique au menu.
Moi (une femme d'une quarantaine d'années), j'ai un peu trop mangé avec mon bento.
Un thé Hojicha a été servi après le repas.